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Les Annexes

Posté le Mer 11 Mar - 11:50
Eden Joys
Eden Joys

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NOM PRENOM: JOYS EDEN
Groupe : Espion
Pouvoir: Ressent les émotions au contact physique
Administrateur
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Humeur : Bonne question
Messages : 169
Date d'inscription : 12/12/2014
Age : 22

Annexes

Introduction -
Vous trouverez ici les annexes du forum. Elles servent à approfondir le contexte du forum et à expliquer l'univers plus en détail. Elles sont toutes évolutives c'est-à-dire qu'elles peuvent être modifiées ou allongées au travers vos rps mais surtout lors d’événements organisés sur le forum où vous pourrez participer et qui auront pour but de les faire évoluer.

1 / La Disparition -
Cette nuit fut cauchemardesque, l'orage qui explosait, la pluie qui fracassait les toits, la Joconde qui inondait le village. 3h, c'est le temps qu'il a fallut à la rivière en crue pour prendre possession du village. La peur tordait les entrailles de chaque Hominiens, grands comme petits. Mais tirés par le sommeil, les plus jeunes furent emportés dans les bras de Morphée. C'est Joël, un petit garçon de neuf ans qui vous racontera toute l'histoire, lui seul, trop accablé par les événements, a tenu la nuit, la nuit la plus horrible de toute sa vie...  

Je tremblais. Je tremblais de tous mes membres. Il y avait beaucoup de bruit dehors, la maison craquait dans tous les sens. J'ai même pensé que la maison allait s'arracher et s'envoler tellement le vent soufflait, la pluie tombait et l'orage grondait. Une vraie tempête éclatait dehors, et la Joconde, rivière dont je me suis toujours méfié, était en train d'engloutir le village, et de nous piéger dans ses eaux froides et boueuses. Pétrifié, je ne pouvais plus bouger. Maman pleurait, elle me tenait fort dans ses bras, tellement fort qu'elle m'en broyait les poumons ! Papa lui, faisait les cent pas dans le grenier, où, pour échapper au désastre, nous nous sommes réfugiés. Il jetait des regards furtifs et rapides vers la vitre, avait-il peur qu'elle se casse ?!

La boule au ventre, je tentais de faire taire les convulsions qui prenaient possession de mon corps et la peur qui s'insinuait dans mon esprit. Mine de rien, il faisait froid dans ce grenier, et le bruit était terrifiant. Blotti contre ma mère, je me sentais plus ou moins en sécurité, elle dégageait une bonne odeur de fraise des bois et sa chaleur maternelle me berçait comme un petit nourrisson. Je me sentais anxieux, mais aussi apaisé, j'étais entouré de mes chers parents, ils étaient là pour me protéger. Et puis, ils en avaient connu d'autres ! Mais la peur ne me quittait pas. Et si l'eau montait jusqu'à nous . Si toutes les affaires du bas avaient été englouties par les eaux . Heureusement, nous avons réussi à monter quelques vêtements, quelques vivres et surtout mon poisson rouge Bubule, mon petit chat Mister Freeze et enfin mon idiot de chien pantoufle. Combien de temps resterons-nous bloqués ici ?

Un coup de tonnerre retentit. Je sursautai vivement. Maman, par pur instinct maternel, me serra fort contre sa poitrine, elle avait bien compris, elle savait que j'avais une peur bleue des coups de tonnerre. Le vent soufflait tellement fort à l'extérieur...le toit de la maison aurait pu être arraché sans problème ! Heureusement, il y a deux semaines de cela, Papa avait eu l'excellente idée de le rénover ! En effet, il commençait à s'effondrer lentement. Ici, j'étais en sécurité. Mais ailleurs ?! Dans les autres maisons ? Y'aurait-il des morts lors de cette inondation ? Je m'inquiétais pour eux, les autres enfants étaient-ils blottis dans les bras de leurs parents ? Ou alors, livraient à eux-mêmes ne sachant que faire dans cette nouvelle catastrophe qui secouait le village?

À bout de patiente, je me levai. Mes deux parents me regardèrent étonnés, au qui sait savaient-ils ce que je mijotais, ils auraient dû me retenir...

N'écoutant que mon courage, je sortais déjà en trombe du grenier. Mes parents, trop lents, trop inquiets et abasourdis n'ont rien pu faire. Les escaliers menant au grenier étaient raides, il s'en est fallu de peu pour que je me casse la figure. Une fois en bas, je risquai un ultime regard vers la fenêtre. Les rues étaient inondées, le rez-de-chaussée était déjà englouti par 15 cm d'eau boueuse. Pris de panique, j'hésite quelques secondes à rebrousser chemin. Puis convaincu que ce que je faisais état bien, je poursuivis ma route à travers les décombres apportaient par la Joconde. C'était avec horreur, que je constatais que tout le rez-de-chaussée avait été envahi, salon, salle à manger, en passant par la salle de bain et la cuisine ! Rien n'avait été épargniez par l'eau.
« Joël, Joël, Joël ! JOEL, JOEL ! »

J'entendais Maman et Papa m'appeler du grenier, il devait être inquiet. Mais tant pis ! J'avais pris la décision d'inspecter les lieux, on m'avait toujours répété que j'étais un garçon super-courageux, j'allais encore une fois le prouver dans cette épreuve ultime de ma vie ! On serra fier de moi ! Les appels de mes parents se taisaient à présent, je pris soudain peur. Le tonnerre s'était remis à gronder sauvagement, la pluie tombait de plus en plus fort dans un bruit effrayant et le vent était tellement puissant que l'on voyait déjà l'ombre d'une tempête arriver. Mais surtout, un silence de plomb était tombé sur la maison. Chose anormale.

Mes membres engourdis par la peur refusaient d'avancer. Je restais là, planté sur place tel un piquet de jardin solidement cloué dans le sol. Un coup de tonnerre tonitruant me fit avancer. Prenant les jambes à mon cou, je gravis les marches d'escalier qui menaient au grenier au triple galop. Poussant dans un mouvement imprécis et brusque la porte, un détail m'interpella. La pièce était plongée dans le noir, et aucun éclat de voix se faisait entendre. Je n'entendais plus le pas précipité de mon père, la respiration saccadée de ma mère, seules les pluies, le vent et le tonnerre parvenaient à mes oreilles.  Je fis quelques pas dans l'obscurité, puis quelque chose, ou plutôt quelqu'un me plaqua sur le sol. Paniqué, j'essayais en vain de me dégager. Puis des lèchements affectueux et des couinements paniqués vinrent. Cette fois-ci légèrement soulagé, je compris que c'était cet idiot de pantoufle qui m'avait plaqué.
« Maman ? Papa ? Vous êtes là .
... » aucune réponse.

Je criais, je pleurais. Mes parents avaient soudainement disparu, ils n'étaient plus au grenier. Je tentais d'allumer la faible lumière, mais l'électricité avait été coupée ! Le sort s'abattait sur moi. Perdu dans cette immense obscurité, je m'assis patiemment sur le sol et attendis. Il fallait réfléchir, trouver une solution, trouver une explication logique à ça. Ils n'avaient pas disparu! Ils devaient se cacher dans un coin sombre du grenier pour me faire une blague. Je ris, mais le cœur n'y était pas, j'avais peur, extrêmement peur. La nervosité de mon chien trahit mon inquiétude, Pantoufle n'était pas du genre à s'inquiéter pour rien, il avait failli se faire renverser par une voiture! Il n'a même pas eu peur. Ni même la fois ou la maison n'a brûlé, il s'était contenté de suivre ses maîtres en trainant un peu.  Mes parents avaient bel et bien disparu. J'étais désormais le seul humain de cette maison, et l'orage, la pluie et le vent continuaient de maltraiter sans pitié le village.

Mais où étaient-ils passés ?! Avaient-ils fait exprès de me laisser ici par temps de tempête ? Était-il arrivé quelque chose de grave ?

Des milliards de questions se bousculaient précipitamment dans ma tête, je ruminais des pensées noires, des flashbacks horribles, mon cerveau allait exploser, mes membres ne répondaient déjà plus, j'étais peut-être en train de mourir? Un profond gouffre s'installa en moi, des larmes commencèrent à s'écouler doucement sur mes joues. Salées, chaudes, habituellement j'aimais les larmes. Mais ces larmes avaient un goût amer, un goût de tristesse et d'amertume. Abattu, je me recroquevillai contre le mur, des spasmes agités mon corps et mon esprit avaient été explosés par ce qui semblait être une bombe nucléaire. Pantoufle s'allongea près de moi, en couinant. Une flèche imaginaire atteint mon cœur, mon pauvre cœur de gosse de 9 ans à peine, elle était douloureuse. Effondré, je restais là accroupi, mon chat miaulant pour récupérer le poisson rouge dans le bocal, il devait avoir faim.

Moi aussi d'ailleurs. Je tâtai le sol et découvris avec soulagement une barre de chocolat. Je déchirais le papier rapidement avant de mâcher sans plaisir. J'étais vraiment dépité. Mes parents, mes chers parents, beaux et forts. Où étaient-ils passaiené?!  
Le sommeil m'attira doucement contre lui, pleurez-me fatiguait, je m'endormis rapidement. Dans un sommeil très agité...
 

Et c'est ainsi dans toutes les maisons. Des cris, des pleurs, des incompréhensions ou des petites joies. C'est à ce moment précis, que toutes les personnes étant âgées de plus de 20 ans ont soudainement disparu. Pourquoi ? Personne ne le sait. Comment ? Nous n'en avons aucune idée. La seule chose que nous savons, c'est que désormais, nous sommes seuls, livrés à nous-mêmes et qu'il va falloir survivre sans les adultes...

2 / Apparition du dôme -
Tandis que les eaux qui avaient englouti le village descendaient peu à peu, tous ou du moins pour la plupart, cédaient à la panique après la perte de leurs parents ou de leurs frères et sœurs déjà jeunes adultes trois heures plus tôt. Mais ce n'est pas moi qui vais vous raconter ce nouveau traumatisme là, c'est Mathilde, 13 ans à peine qui a tout vu, tout entendu et qui si mes sources sont bonnes, est morte quelques heures plus tard, noyée. Du moins, c'est ce que l'on raconte...
La pluie s'était calmée, j'entendais toujours des coups de tonnerre et voyais des éclairs déchirer le ciel, mais ils s'étaient éloignés, la ville n'avait pas été trop endommagée, juste ébranlée. Moi aussi je suis ébranlée. J'ai perdu mes parents, il y a quelques heures déjà, du moins je crois? Des jours, des minutes, des heures. Je ne sais même plus. Je suis enfermée au deuxième étage de ma maison, dans ma chambre, la pièce la plus isolée où mes parents, mon grand frère et moi nous sommes réfugiés. Puis je me suis tournée vers la fenêtre, me suis mise à pleurer, puis me suis retournée pour chercher du soutien et ils n'étaient pas là. Le deuxième étage était terriblement vide. J'avais appelé, crié, mais rien, personne. Seule au monde dans la peur et le désespoir. Mais il est inutile de vous raconter ça, vous le savez déjà non? Qu'il n'y a plus aucun adulte? Qu'ils ne répondent pas au téléphone. Ce n'est pas une blague ce qui est arrivé est très grave. Mais on ne peut rien y faire? Ils reviendront, ils ont pu disparaître, alors ils pourront réapparaître non?

J'ai attrapé mon manteau dans mon placard, j'ai enfilé mes bottes de pluie posées sur les étagères et je suis sortie, rongée par le chagrin et la peur. J'ai descendu les escaliers en silence, du moins j'ai essayé. Il y avait moins d'eau que tout à l'heure, légèrement soulagée, j'ai commencé à avancer avec peine dans les remous boueux. Comment essuyer cette catastrophe sans les adultes? Nous sommes que des gamins, des jeunes enfants qui doivent obéir sans protester. Je tente d'ouvrir la porte d'entrée: impossible. Elle est bloquée par l'eau. Je pousse, je pousse, je tire, je tire. Rien à faire. Je tourne alors la tête dans toutes les directions, à la recherche d'une issue pour sortir dans la rue. Puis je pense à la fenêtre de la salle de bain, accessible car plutôt basse, assez large, je pouvais passer sans trop de difficultés. C'est ainsi que je me suis retrouvée là, dans la rue à une heure très tardive du soir, les maisons semblaient désertes, tous les enfants dormaient sur la place. Je marchais droit devant moi, sans m'arrêter, ne sachant où aller. Chercher de l'aide? À qui? Comment? Où? Je n'avais rien à faire ici, pourquoi déjà suis-je descendue? Je suis lentement descendue vers la plage, c'est ainsi que nous appelons la lande de sable.

Je me suis assise, le sable était trempé, mais au moins, il était là. L'eau commençait à revenir dans son lit, seul quelques minuscules centimètres ruisselaient encore. L'eau ne me dérangeait pas, j'avais besoin de ressentir les éléments, et de passer cette catastrophe en la voyant de mes propres yeux se régler naturellement. Évidemment qu'il faudrait tout nettoyer, réparer les dégâts et repartir de l'avant, mais comment y arriver sans l'aide de la sagesse? Pour le moment, je n'avais aucune conclusion à apporter sur les faits. Une fugue des parents? Un kidnapping? Un sortilège ou plutôt une malédiction? Les questions se bousculaient violemment dans ma tête, une migraine terrible me vrilla les tympans.

Mais les questions n'y étaient pour rien car des éclaires lumineuses, terriblement lumineuses m'aveugla. Pendant quelques instants, une durée que je ne pourrais déterminer je fus plongée dans une lumière si vive que je ne pouvais plus ouvrir les yeux. Puis peu à peu, la lumière s'éteint, doucement, en fondant doucement vers le jaune, l'orange, le rouge, le marron, le noir. Puis tout s'éteint, je semblais endormie, mais en réalité, j'étais endormie à tout jamais.


Et c'est après cet éclair que le dôme apparut, translucide, ne laissant passer rien d'autre que le ciel et les nuages, le dôme, s'étend en un cercle parfait de 120 km de rayon, une partie très importante contenant le lac, le désert et etc. Et personne ne peut entrer, n'y en sortir, c'est ce qu'ont noté les habitants prisonniers à leur réveil.  

3 / L'organisation -" S'il vous plaît, j'aimerais votre attention"

Edgar, le plus âgé d'entre nous, tout juste âgé de 20 ans prend la parole en montant disgracieusement sur la fontaine. Toutes les bouches se ferment, les yeux rivés sur le jeune homme, les oreilles tendues.

"Je ne sais pas si les adultes sont partis ni s'ils reviendront mais nous devons nous adapter, chacun d'entre nous à la situation et s'organiser afin que nous ne sombrions pas dans le chaos."

Aucun bruit sur la place, seuls des hochements de tête inquisiteurs.Edgar reprend de plus belle
"Je propose que les plus âgés d'entre nous formions une équipe de directeurs de la ville, afin de diriger les opérations"
tout de suite, quelques voix de personnes s'élèvent : "non, on ne se laissera pas diriger ainsi ! Nous sommes enfin libres, écoutez-moi, les adultes ne sont plus là, profitons-en pour réaliser nos désirs les plus profonds, faisons ce que bon nous semble" Quelques visages acquiescent tandis que d'autres se referment.

Le jeune homme reprend la parole "que ceux qui ne veulent pas d'une vie sans adulte responsable et stable partent, éloignez-vous de la ville, partez à l'Hôtel, vivez votre vie, il est important de garder l'ordre de cette ville en attendant le retour des adultes!" Un petit groupe commence à se lever, grognant, et peu à peu leurs silhouettes deviennent informes et floues, avant de disparaître dans le brouillard qui étourdit la ville en cette journée de grisaille."Bon, comme vous le savez, nous commençons à manquer de nourriture, c'est pour cela que je pense qu'il serait bon d'instaurer un travail quotidien, il faut du monde, vos efforts seront récompensés croyez- moi, qui se porte volontaire, je précise, il faut avoir plus de 12 ans ?"

Peu à peu, les mains se lèvent et le sourire du jeune garçon s'élargit. Les événements terrifiants des jours précèdent ont sûrement fait réagir les jeunes habitants de la ville sur l'état critique de celle-ci : il faut travailler pour survivre. En revanche, quelques personnes ne semblent pas d'accord avec cette nouvelle régler, et le sourire d'Edgar disparaît rapidement:
"non, c'est déjà dur comme ça, on a faim, on ne va pas en plus travailler, en échange de quoi ?" Edgar eut à peine le temps de répondre qu'une jeune fille, plein de désinvolte rétorque : "si tu ne veux pas travailler, alors tu es exclu, tu n'as pas le droit à la nourriture cultivée ni aux logements! Il faut mériter toutes ces choses"

Une dispute éclate alors et quelques personnes ne souhaitant pas travailler, s'éloigne du groupe afin de se terrer quelque part, attendant que les autres reviennent à la raison. Tandis que les volontaires, fier d'être privilégiés regarde fièrement la fontaine.
"bon, reprend Edgar, pour diriger les opérations des travaux il me faut des personnes également, toutes celles âgées de plus de 16 ans, il faut également des personnes pour garder les enfants qui seront logés à la garderie..."

Ainsi, peu à peu, tout le monde assigné à son poste se mit en marche, avançant main dans la main dans quel clan seras-tu? Désillusion ?  Ça c'est à toi de l'écrire....
4 / La légende d'EvilSpirits -
EvilSpirits quel drôle de surnom pour une ville n'est-ce pas? Bien qu'avec les tragiques et effrayants événements qui s'y produisent, elle le porte à merveille. Malgré tout, ce surnom est ancré dans les esprits depuis des générations, bien avant l'apparition du dôme et de tous les malheurs qui l'ont frappé. Ce surnom lui vient d'une vieille légende, je vais aujourd'hui vous la conter.

Il était une fois, alors que Louis XIV régnait sur le pays, une petite ville répondant du nom de Hominis située dans l'Ouest de la France très appréciée par les paysans et fermiers pour ses terres fertiles. En effet, les crues de la rivière donnaient aux terres l'eau dont elle avait besoin et ainsi, nourrissait les cultures qui prenaient place après celles-ci. Ainsi fût la réputation de la ville. Si vous avez lu le contexte, vous savez que la crue du 14 janvier 2006 fût terrible et que d'après les indications les précédentes également, ne paniquez pas, vous serez tout dans quelques instants. Reprenons. Janvier, mois particulièrement propice aux crues, alors que tous les habitants, perchés en haut de leurs maisons attendaient la crue, celle-ci fût très en retard, bien trop en retard au goût des anciens ce qui inquiéta grandement les habitants. Étrange comme réaction non? Une crue ne peut intervenir tous les ans à la même heure? Pas tellement dans la petite ville de l'Ouest. Au bout de plusieurs heures d'attente, les remous de l'eau résonnèrent aux oreilles des Hominiens et l’inquiétude se dissipa. Cependant, tout ne se passa pas comme prévu car ce soir là, le village ne pût lutter contre les puissants remous de la rivière, il fût alors engloutit par les eaux noires et effrénées. Cette nuit fut très agitée, la Joconde, en moins de trois heures, avait réussi à prendre possession du village au complet et l'âme du petit Killian âgé de 5 ans. Le cauchemars lui, ne faisait que débuter. Chaque année, le même scénario se répéta : l'eau  prenait possession des lieux et détruisait tout sur son passage en faisant chaque année des enfants disparus. Comment cela était possible? Personne ne pouvait sortir et pourtant, l'eau embarquait avec elle les corps et âmes d'enfants innocents.

Ainsi, beaucoup de questions subsistaient, pourquoi seuls les enfants disparaissaient? Pourquoi l'eau était devenue noire et violente? Personne ne pût y répondre alors très vite, les habitants des villes environnantes déclarèrent la ville de maudite, hantée par la colère du petit Killian emporté par la première crue, souhaitant faire subir le même sort aux enfants du village il fut alors l'origine du surnom EvilSpirit (Mauvais esprit). Alors la question se pose, et si les enfants disparus étaient la cause de l'apparition du dôme et de la disparition des adultes dans le but de les punir pour être en vie? Et si c'était des EvilSpirits ? Légende ou histoire? C'est entre vos mains que je remets cette histoire...  


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